Les croyances nourrissent les conflits d’autorité, les doutes, et la logique des arguments qui veulent démêler le vrai du faux (ainsi, le doute devient inutile).
La vérité, dans le sens extrême de blanc et noir, est une invention humaine qui peut être utilisée socialement comme un pouvoir pour conditionner l’esprit et l’énergie, en les mettant en conflit avec eux-mêmes. Les croyances se multiplient, et bloquent le chemin des sens vers le centre de l’être (tout ce qui existe en notre centre). La croyance est considérée comme un espoir, le doute, comme de la peur – Si tu ne crois pas ce que je crois, j’ai peur de toi : tu doutes de ma fonction, en un sens, et tu te moques de ma structure.
C’est la vision de l’égo, instable et reliée à de grands et violents virages vers des conclusions et des conversions émotives.
Monica Hathaway, 12/12/07
Traduction de Maryse Pelletier, 14/01/15
Note : J’ai pensé que ce petit texte de Monica pourrait éclairer les événements des derniers jours.